Harcèlement. Et si la mauvaise note cachait quelque chose de
plus grave.
Hier dans l’émission sept à huit sur TF1, nous avons eu le
témoignage poignant d’une maman qui a raconté, la vie de sa fille harcelée à l’école
et qui a fini par commettre l’irréparable. Troublé par ce reportage, j’ai
décidé d’écrire, aujourd’hui sur ce sujet.
Lorsque l’on remarque une baisse dans le niveau scolaire, la
première raison qui nous semble évidente est le manque de travail de notre
enfant. En effet, c’est la partie visible de l’Iceberg. Nous le voyons affalé
dans le canapé, devant une émission à la débilité abyssale. Nous l’observons,
jouant, des heures durant, sur sa console de jeu. En vient, cette conclusion
tout à fait objective : Il ne travaille pas assez et c’est pour cela, que
ses résultats sont en baisse. Et si la raison était autre et beaucoup plus
préoccupante que seulement un manque d’assiduité et de motivation.
Aujourd’hui, les chiffres du harcèlement scolaire sont effrayants. D’après un
article paru dans le Figaro en 2015, 12 % des élèves auraient subi ce genre de
violence en primaire et près de 10 % au collège. A ce niveau, on ne peut pas
parler d’épiphénomène mais réellement d’une cause grave, qui peut entraîner des
catastrophes. Or, le plus difficile est de bien repérer les signes, souvent
infimes, de cette manipulation dont nos enfants peuvent être victime. C’est
pourquoi, avant de tomber à bras raccourci sur nos chers petits avec notre panoplie
de reproches. Je vous propose de réaliser une petite étude afin d’écarter cette
cause épouvantable.